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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 23:10

juste parce que j'aime....
entendu à la radio par hasard...
trop envie de la réécouter !!
bonne soirée

Lilou

 

 


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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 21:22

pas besoin de mots...
il suffit de regarder !!
merci tite Ma, pour cette vidéo !
un vrai bonheur....

Lilou

 

 

 


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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 21:08

http://www.avoir-alire.com/IMG/jpg/rosy_varte_grande.jpg

 

 

La comédienne Rosy Varte est décédée dans la nuit de vendredi à samedi à l'hôpital américain de Neuilly, près de Paris. Elle a succombé des suites d’une bronchite, qui a dégénéré en infection pulmonaire.

J’ai envie de rendre hommage ce soir à cette grande dame qui a longtemps incarné Maguy, dans la série du même nom que j’ai regardé avec beaucoup de plaisir sur Antenne 2 à l’époque… c’était sans prétention, mais plein de bonne humeur… et c’était le petit plaisir du dimanche soir. Elle jouait aux côtés de Jean-Marc Thibault et Marthe Villalonga, eux aussi très drôles !
Très apprécié du public, le personnage de Maguy permet à Rosy Varte de remporter le 7 d’or de la meilleure comédienne en 1987.
Une femme dynamique, pétillante, drôle, grande comédienne…

J’ai découvert à la suite de son décès ce week-end, qu’elle avait vu le jour en Turquie.
« Avant de connaître la gloire avec Maguy, Rosy Varte avait déjà derrière elle une immense carrière débutée dans les années 40 dans les théâtres parisiens. Ses premiers pas devant la caméra, elle les fait devant celle d’Henri-Georges Clouzot, pour Manon. Limitée pendant de nombreuses années à des seconds rôles pour le cinéma et la télévision, elle est dirigée tout de même par les plus grands : Jean Renoir (French Cancan), François Truffaut (L'Amour en Fuite), Henri Verneuil (Peur sur la ville) ou encore Claude Sautet (Garçon). Heureusement, la comédienne excelle sur scène, du Théâtre national populaire (TNP) à la Comédie française. Elle achève sa carrière théâtrale en 1997 avec La Mamma, d'André Roussin, au théâtre de la Madeleine. Quant à sa dernière apparition sur les écrans, elle remonte à 2007. Elle incarne alors la maman de Christophe Dechavanne dans le téléfilm de TF1 Hubert et le chien. Rosy Varte restera à jamais pour des générations de téléspectateurs l'inoubliable Maguy ! »
Allociné…

Voilà ce que je voulais partager avec vous ce soir…
Et pour le fun, les souvenirs et le plaisir, la vidéo du générique de la série Maguy ! !
Bonne soirée
Lilou

 

 

 


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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 00:39

 

 

 

bonsoir
D'avoir vu chez Anne une vidéo sur Québec city, cela m'a replongé dans de bien beaux souvenirs... n'est ce pas tite Ma ?!!!
vraiment le Québec est un beau pays... ah lala !
du coup, je viens de re regarder la vidéo que j'avais faite à l'époque de notre voyage...
je vous la propose ce soir...
bon, nous avons un peu changé avec tite Ma lol
mais pas grave
Québec city est belle et éternelle !!!
je pique aussi la vidéo vue chez Anne
bon là, c'est une vidéo de professionnels du tourisme, on ne joue pas dans la même cour, comme on dit !!
belle découverte...
bisous
Lilou

 

 

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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 07:41

http://madisondream.m.a.pic.centerblog.net/10ta0am0.jpg

 

 

Bonjour tout le monde
Alors, comme j’ai cru comprendre que mes modestes conseils sur la programmation télé ou mes coups de cœur, ne vous indisposaient pas, au contraire, je me permets d’attirer de nouveau votre attention sur une belle soirée télé que nous offre ce soir, France 3.
Soirée Clint Eastwood, s’il vous plaît ! ! Grand monsieur pour moi, devant et derrière la caméra.
2 films ce soir…. Dont le chef d’œuvre pour moi, Sur la route de Madison.
De et avec Clint Eastwood et la sublissime Meryl Streep.
Bon, il est par contre, indispensable, d’avoir à proximité mouchoirs et/ou kleenex… LOL
Ah oui, quand même ! ! mais tout est beau, parfait, émouvant dans ce film….

Pour ceux qui ne connaîtraient pas (pas sur qu’il y en ait lol), l’histoire :

A la mort de leur mère, Michael Johnson et sa soeur Caroline se retrouvent dans la ferme où ils ont passé leur enfance, dans l'Iowa.
Ils apprennent avec consternation que la défunte, Francesca, a demandé que ses cendres soient répandues du haut du pont de Roseman. Une bizarrerie que la lecture du journal intime de Francesca va expliquer. Jadis, au cours de l'été 1965, alors que son mari et ses deux enfants s'absentent pour quelques jours, Francesca voit arriver une camionnette bringuebalante. Robert Kincaid, un photographe sexagénaire, en descend et lui demande le chemin du pont de Roseman. Plutôt que de le lui expliquer, Francesca décide de lui montrer le chemin...
Ils vont donc découvrir tout un pan de la vie de leur mère ignoré de tous, sa brève, intense et inoubliable liaison avec ce photographe de passage.

Histoire d’amour intense, comme on aimerait tous et toutes en vivre, enfin je crois, magnifiquement photographiée, filmée par Clint Eastwood… interprétée avec sensibilité par ces 2 grands acteurs….
Bref, un très beau moment intense….
Je vous le conseille vivement ! ! !

Le 2e film de la soirée est également réalisé par Clint Eastwood « Lettres d'Iwo Jima »… je ne le connais pas, mais en général, Clint est génial ! ! lol
En voici, le synopsis :
En 1945, l'île d'Iwo Jima fut le théâtre d'affrontements sanglants entre soldats japonais et américains. Quelques décennies plus tard, la découverte de centaines de lettres permet de retracer le destin tragique de ces combattants héroïques, dont beaucoup ont perdu la vie sur cette île japonaise. Elles dévoilent également les derniers jours de vie des soldats nippons, avec à leur tête le général Kuribayashi. Alors que tous prévoyaient une défaite éclair des Japonais, Kuribayashi, animé d'une volonté implacable, parvint à exploiter habilement la nature du terrain, livrant, avec ses troupes, des combats intenses durant près de quarante jours...

Belle journée à tous et surtout bonne soirée télé !
Lilou

 

 

 

 

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 18:48

Un texte découvert sur le forum de booknode…
Qui m’a bouleversé.
En hommage à tous ceux qui ont eu la tête baissée, par la vie, et qui finissent par avoir la tête haute.
Pour certaines personnes aimées qui sont parties trop vite, trop tôt… la tête haute.
Et de tout cœur et en pensées avec tous ceux qui se battent aujourd’hui contre des saloperies de maladie.
Et pour certaines personnes que j’aime tout particulièrement de tout mon cœur. Elles savent….
« Les Cowboys Fringants », c’est un groupe québécois de musique folk à saveur de rock et de country…
Ils valent le détour !
Bisous
Lilou




La tête haute

Les Cowboys Fringants

C’est ma fête, j’ai dix-neuf ans
Plus d’ cheveux et toutes mes dents
Et quand j’ regarde en avant
Y a comme un flou dans le temps
Tantôt le doc passera
Me donner mes résultats
Et j’ saurai si oui ou non
J’ai des chances de guérison
Mes bougies d’anniversaire
S’ront peut-être bien les dernières
Mais je n’ suis même pas fébrile
J’ai en moi cette force tranquille
Des gens qui sont habitués
A voir la mort rôder

J’ai tout surmonté
La tête baissée
Si je descend la côte
Ce s’ra la tête haute

Si je suis au bout d’ la route
De ma vie beaucoup trop courte
Je partirai quand même en paix
Sans éprouver de regrets
Car même si j’ai encore la flamme
J’ai en moi cette vieille âme
De ceux pour qui la sagesse
A remplacé la jeunesse
Et qui m’a fait garder espoir
Dans les moments les plus noirs
Et qui a aussi tempéré
Mes victoires à l’arrachée
J’ me s’rai tenu comme un roi
Face à ce cheval de Troie
Sans me plaindre de la douleur
Et sans pleurer sur mon malheur
Que je survive ou que je meure
Maint’nant je n’ai plus peur

J’ai tout surmonté
La tête baissée
Si je descend la côte
Ce s’ra la tête haute

C’est ma fête, j’ai dix-neuf ans
Pu d’ cheveux mais toutes mes dents
Je soufflerai les bougies
Les dernières de ma vie
Le doc me l’a confirmé
Le mal a trop progressé
Une affaire de quelques s’maines
Peut-être deux mois à peine
Mes yeux qui flottent dans l’eau
Dans un dernier soubresaut
De colère et d’impuissance
Il faut accepter l’évidence
Ce n’est plus le temps pour les larmes
Je dois rendre les armes

J’ai tout surmonté
La tête baissée
Maint’nant je descends la côte
Et j’ai la tête haute
J’ai la tête haute
J’ai la tête haute
Haute

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 19:35

http://www.courrierinternational.com/library/images/logo.jpg

 

Je suis complètement révoltée…
J’ai découvert cet article du Courrier International grâce à un ami, Marc, qui l’a partagé sur facebook.
Je vous le reproduis ici,….
Je trouve que c’est très grave, car les mots ont énormément d’importance…
Et si on commence par les changer, juste un peu… on finit par arriver à l’oubli ou pire à la négation….
Oui je suis absolument révoltée
Bonne soirée
Lilou

http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/article/illustrations/article/2012/01/0601-chili-A.jpg

 

 

La décision du ministère de l'Education de remplacer le mot dictature par celui "régime militaire" dans les manuels scolaires a suscité une levée de boucliers. Un débat qui n'est pas innocent, affirme cette historienne : changer les mots, c'est transformer la réalité.

06.01.2012 | Cristina Moyano | El Mostrador

La dictature chilienne (1973-1990)

Le programme scolaire officiel approuvé par le Conseil national de l’Education, le 9 décembre dernier, marque une rupture conceptuelle importante concernant l’histoire récente de notre pays : à la page 31 du programme d’histoire, le terme de “dictature militaire” a en effet été remplacé par “gouvernement militaire”.

Pour certains, ce changement conceptuel est infime et ne modifie en rien la réalité de ce qui “s’est réellement passé” au Chili pendant 17 ans. La majorité des Chiliens savent que les militaires ont gouverné de manière autoritaire, qu’ils ont été portés au pouvoir par un coup d’Etat et renversés par un gouvernement démocratiquement élu, qu’ils n’avaient pas le moindre respect pour les droits de l’homme et qu’ils ont transformé radicalement les fondements matériels et subjectifs de notre nation. Pour d’autres, le concept n’a pas vraiment d’importance si nous sommes capables de débattre en public de notre histoire et si la télévision aborde ouvertement les atteintes aux droits de l’homme avec des séries comme “Les archives du Cardinal” ou la dernière saison de “Les années 80”.

En tant qu’historienne, je m’insurge contre ces affirmations, parce que le débat sur notre passé reste ouvert et que les changements conceptuels ne sont ni innocents ni anodins. Ces changements cachent une intention politique et idéologique évidente et c’est pourquoi il est important de la rendre visible au plus grand nombre. N’oublions pas que c’est ce passé qu’on va enseigner aux enfants de notre pays.

En janvier 1999, un groupe d’historiens dirigé par Gabriel Salazar, Julio Pinto, Mario Gracés, Sergio Grez et María Angélica Illanes ont endossé la lourde charge de débattre ouvertement de la dénomination et de la représentation de notre passé récent, s’opposant ainsi à l’historien de droite Gonzalo Vial et à son histoire du “régime militaire” expurgée des atrocités commises pendant ces 17 années, vue selon une perspective où le coup d’Etat est conçu comme la planche de salut d’institutions politiques démocratiques en phase terminale. De ce travail est né le célèbre “Manifeste des Historiens” signé par des milliers d’historiens chiliens et étrangers.

Nous autres historiens savons que les concepts sont des outils essentiels pour la constitution de la réalité sociale. Car de tels concepts contribuent à produire les signifiés de cette réalité matérielle qu'on aspire à non seulement à nommer, mais aussi à transformer. Dans cette optique, la conceptualisation est un processus éminemment politique, et le débat sur l'utilisation de tel ou tel concept revêt une importance capitale pour définir le passé et l'avenir.

Dès lors, remplacer le concept de dictature par celui de régime militaire revient à changer le champ de l'expérience nominale, et, partant, les horizons d'attentes des acteurs sociaux. Le ministre [de l'Education] Beyer trahit ses intentions lorsqu'il affirme que régime/gouvernement militaire est un concept plus général que celui de dictature, et que donc son emploi est justifié, même s'il déclare ensuite qu'il croit que ce régime a été “effectivement dictatorial”. Ce n'est pas un problème de généralité ou d'objectivité, car l'histoire n'est pas objective, mais sujette à interprétation, ouverte au débat et par conséquent politiquement construite.

Quand le Chili est revenu à la démocratie, ce débat a eu tôt fait d'agiter le monde de l'enseignement. Il a fallu plusieurs années pour qu'on puisse dire publiquement qu'entre 1973 et 1990 le Chili avait connu une dictature militaire. Cette appellation a fait l'objet d'âpres discussions, et cette même droite qui gouverne aujourd'hui le pays a systématiquement refusé qu'on introduise le terme de dictature dans les programmes d'études et les manuels scolaires. Résultat, les propos du ministre non seulement ne convainquent pas nos concitoyens, mais encore dissimulent ce que tout processus de conceptualisation implique : imposer politiquement une nouvelle vision du passé, où les atrocités commises pendant 17 ans contre des Chiliens seront occultées par un concept comme celui de régime/gouvernement militaire. La droite qui dirige aujourd'hui le pays veut qu'on interprète le passé dans ce sens, et même si une telle position est licite en démocratie, car elle s'inscrit dans le contexte plus large de la lutte pour le pouvoir, il serait important et éthiquement souhaitable que ce gouvernement le reconnaisse.

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8 janvier 2012 7 08 /01 /janvier /2012 12:24

 

 

 

 

Bonjour
Et oui encore un conseil télé… LOL
Ça va devenir une habitude, vous allez vous dire… désolée, mais là, je ne peux pas faire autrement….
Après ces temps de disette télévisuelle classique au moment des fêtes, la programmation a l’air de se réveiller enfin un peu…
Et là, franchement, Le Hérisson, que j’ai vu au cinéma, est un petit chef d’œuvre… j’avais beaucoup, beaucoup aimé ! ! !

Voilà le début du billet que je faisais en 2009 à la sortie du film… ah oui ceux qui me connaissent l’ont forcément lu, ici ou ailleurs lol (ici sur overblog pour être précise mdr)

« hier soir, je suis allée au cinéma voir un film délicieux, émouvant, bouleversant, drôle, intelligent, tendre… bref un film génial !
oui j’ai beaucoup, beaucoup aimé…
j’étais complètement bouleversée en sortant…
tous les acteurs sont excellents et jouent juste…
bien sur, en particulier, la petite fille, Garance Le Guillermic, qui joue Paloma.
Josiane Balasko, toute en finesse, qui joue Renée Michel, la concierge.
Togo Igawa que je ne connaissais pas, qui joue Kakuro Ozu.. très bien, très distingué, humain…
Anne Brochet qui joue la maman de Paloma… complètement absente, aérienne, ailleurs…
Etc.
Ce film a été réalisé par Mona Achache… une adaptation libre d’un livre qui a eu beaucoup de succès… L’élégance du hérisson de Muriel Barbery… »

Quand j’avais vu le film, je n’avais pas encore lu le livre… ce que j’ai fait très rapidement après…
Et bien, le livre est vraiment très bon ! D’ailleurs, il se trouve maintenant dans mon top 6 de mes livres préférés… allez voir ma bibliothèque sur booknode, vous verrez lol (pseudo ! Lilou)
Et contrairement à d’habitude, le livre ET le film sont bons. A voir et lire.
Bien sûr, ça c’est évident, le livre est plus fouillé que le film… forcément !
Voilà ce que j’en disais encore à l’époque (comment ça, vous me trouvez fainéante ? ! ! mdr il n’y a pas forcément besoin de réinventer l’eau chaude, non ? LOL bande de coquins, va….)

 

 

 

 

 

« Bon je vous dis en deux mots l’histoire…
L'histoire d'une rencontre inattendue : celle de Paloma Josse, petite fille de 11 ans, redoutablement intelligente et suicidaire, de Renée Michel, concierge parisienne discrète et solitaire, et de l'énigmatique Monsieur Kakuro Ozu.

Pour la petite histoire, il faut savoir que très littéraire, L'élégance du hérisson se présente sous la forme d'un journal de bord tenu par chacune des héroïnes (Paloma et Renée). Ne voulant pas avoir recours à la voix-off, la cinéaste a choisi de remplacer l'écrit de Paloma par le dessin et le film: "La caméra de Paloma devait être le support de sa voix", explique t-elle: soucieuse de rester fidèle au roman, elle a choisi d'exprimer la maturité de la jeune fille à travers les plans structurés, pensés et imaginatifs qu'elle capture avec sa caméra. Enfin, le calendrier qu'elle crée a été l'occasion de rendre "crédible et visuelle" son envie de mourir. Pour Renée, elle a privilégié le mutisme, préférant sous-entendre sa finesse plutôt que de la rendre "audible". Mona Achache a en outre tenté de préserver un bon équilibre entre l'alternance des points de vue des deux femmes afin de les faire exister indépendamment l'une de l'autre.

On s’attache très vite à ces 3 personnages… à leurs relations… à leurs destins…
C’est un film qui montre qu’il ne faut pas s’arrêter aux apparences… qu’il faut avoir l’esprit et le cœur ouverts et savoir aller vers les autres… »

Je vous propose la bande annonce, et une vidéo que j’avais réalisée à l’époque (et oui j’en faisais plus souvent à cette époque là, ça me reviendra peut être….).
Je vous propose aussi une bande annonce un peu rallongée et surtout entrecoupée d’interview de Josiane Balasko et de la jeune Garance Le Guillermic. C’est intéressant à écouter…

Voilà bon dimanche et bonne soirée avec le Hérisson, si vous me faites confiance…
Bisous
Lilou

 

 

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 21:28

Le passager de Jean-Christophe Grangé

 

 
http://images-booknode.com/book_cover/226/le-passager-226184-250-400.jpg

Bon alors, là, attention, petit chef d'œuvre, gros plaisir ! ! !
Oui je l'avoue... je suis fan complet de Jean-Christophe Grangé ! depuis qu'une amie m'a prêté « Le vol des cigogne », son premier roman, et premier roman que j'ai lu de lui...
Wahou ! je ne vois pas quoi dire d'autre ! ça a été une découverte, un coup de fouet, un coup de foudre si on peut dire....
Une maîtrise de l'écriture, du suspens, de la montée en puissance de ce suspens et une documentation impeccable, fouillée, précise...
Bref, j'adore !
A chaque nouveau roman, un univers complètement différent, une intrigue nouvelle qui nous tient en haleine... oui pour moi, c'est un maître du thriller...
Pour mon Noël, j'ai eu la chance d'avoir son dernier roman, Le passager !
Et je l'ai terminé cette nuit....
749 pages de pur plaisir...
le maître n'a pas perdu la main, au contraire... j'avais un peu moins aimé ses derniers... et là ! de nouveau du grand, de l'excellent Grangé ! !

Je suis entièrement d'accord avec cette analyse :
« Grangé reste fidèle à son style : la construction de l'histoire et la montée en puissance du suspense à travers un héros tourmenté face à une situation maléfique. La nouveauté du cru 2011 se trouve dans l'aspect psychologique. On est moins dans la description des meurtres, des corps mutilés, des autopsies, que dans le décryptage des pensées du héros et du tueur ».

Bon avant d'aller plus loin, je vais tout de même vous mettre le résumé du livre :

« Mathias Freire a une maladie étrange. Il fait des « fugues psychiques ». Sous l'effet du stress, il tourne au coin d'une rue et perd la mémoire. Quand il la retrouve, il est un autre. A son insu, il s'est forgé un nouveau moi, un nouveau passé, un nouveau destin...
Quand il saisit sa situation, il est psychiatre à Bordeaux. Pour savoir qui il est vraiment, il n'a qu'une solution : remonter, l'une après l'autre, ses identités précédentes jusqu'à découvrir son moi d'origine. Clochard à Marseille, peintre fou à Nice, faussaire à Paris... Au fil de ses personnages, il va décrypter l'hallucinante vérité.
On plonge en apnée dans ce labyrinthe cauchemardesque où l'auteur continue inlassablement d'ausculter les origines du Mal. Tendue, très documentée, cette traque de l'identité navigue entre psychanalyse et manipulation scientifique à un rythme infernal.
Jamais Grangé n'a été moins sanglant, jamais il n'a été plus angoissant. Probablement son meilleur roman ».

Lien vers la fiche du livre sur booknode


Le passager ecrit par Jean-Christophe Grangé

Le passager ecrit par Jean-Christophe Grangé

Découvrez Le passager, de Jean-Christophe Grangé sur Booknode, la communauté du livre

booknode.com



Une fois démarré, il est difficile voire impossible de lâcher Le passager... on suit avec appréhension, avec impatience, avec plaisir la quête de ... comment vais je l'appeler ? LOL de Mathias... quête parsemée de meurtres étranges, à consonance mythologique... est il juste témoin, ou l'assassin ? pourquoi veux t on le tuer ? en quête parallèle, l'enquête d'Anaïs Châtelet, une flic à la fois forte et fragile et particulièrement obstinée... et... chut je ne vous en dis pas plus... à vous de découvrir.
Je ne me suis pas ennuyée un instant, et jusqu'à la dernière phrase, oui je dis bien, phrase, Grangé m'a bluffé... je ne m'attendais pas à cette fin... peut être avais je espéré une fin différente... un peu plus « happy end » ! mais c'est du Grangé, un thriller... pas un roman à l'eau de rose lol
Non vraiment, c'est lui qui mène la danse jusqu'au bout et c'est bien ainsi...
Devinez...
En fermant le livre, j'étais heureuse de connaître la fin, mais tellement triste de quitter ce livre... ben oui ! je suis comme ça...
Et là, difficile pour ce soir.... Quel livre vais je prendre et lire ?
J'en ai plein qui m'attendent, ne vous inquiétez pas pour ça, mais j'ai terriblement peur que malgré sa qualité, il me paraisse bien fade après Grangé ! ! !
Si vous avez envie, je vous mets quelques extraits...
Et franchement, si vous aimez les thrillers, plongez, allez y ! !
Lisez Le passager et tous les Grangé ! ! !
Veinards, va !
Bonne lecture...
Véro
 
Le passager de Jean-Christophe Grangé
 
 

« La première fois qu'Anaïs était entrée dans son bureau, Freire avait pressenti sa force. Elle imprimait sa marque sur le monde. Elle était forte parce qu'elle avait souffert. Mais elle était aussi fragile, vulnérable. Exactement pour les mêmes raisons. La fin du XXe siècle avait répété jusqu'à l'usure un lieu commun, résumé par la sentence de Nietzche, dans Le Crépuscule des idoles : "Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort". C'était une connerie. Du moins dans son acception banale et contemporaine. Au quotidien, la souffrance n'endurcit pas. Elle use. Fragilise. Affaiblit. Freire était payé pour le savoir. L'âme humaine n'est pas un cuir qui se tanne avec les épreuves. C'est une membrane sensible, vibrante, délicate. En cas de choc, elle reste meurtrie, marquée, hantée.
La souffrance devient alors maladie. Avec sa vie propre. Sa respiration. Ses oscillations. Elle se réveille sans prévenir et, plus dangereusement encore, se nourrit d'elle-même. Les crises surgissent. Sans lien visible avec le présent ni l'environnement. Ou alors si le lien existe, il est si profond, si enfoui, que personne, même pas le psy, ne peut le mettre en évidence ».



« Il prit la fuite, serrant son cubi comme s'il s'agissait d'un trèsor. Quand il parvint à nouveau sur la Canebière, il n'était plus Mathias Freire mais un sans-abri en errance. Il se jura de ne plus penser, un seul instant, en tant que Mathias Freire, psychiatre, mais seulement en tant que Victor Janusz, clochard en fuite.
De Janusz, il remonterait jusqu'à son identité précédente.
Et ainsi de suite jusqu'à découvrir son noyau d'origine.
Sa personnalité initiale.
La plus petite poupée russe.
Il suivit les rails du tramway, séchant sa puanteur au soleil.
Le Vieux-Port était en vue.
D'instinct, il devinait que les clodos étaient là-bas.
Il était certain qu'un des gars connaîtrait Victor Janusz ».

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 18:02

http://blog.clic-cheval.com/wp/wp-content/uploads/Danse-avec-lui.jpg

 

Bonsoir
Ce soir sur France 3 il y a au programme un très beau film que j’ai déjà vu et qui vaut vraiment le coup : Danse avec lui de Valérie Guignabodet avec Sami Frey, Mathilde Seigner, Jean-François Pignon…

L’histoire :
Grâce à un vieil homme passionné de chevaux, Alexandra Balzan va réapprendre à vivre. Effectivement, il y a de cela quelques années, la jeune femme a vécu une rupture qui l'a totalement déphasé en plus d'avoir eu un grave accident de cheval qui a coûté la vie à son animal et plusieurs mois d'hôpital... Par le biais de l'écuyer, les chevaux vont redonner un sens à sa vie.

C’est un très beau film sur les chevaux, les relations entre l’homme et l’animal, les relations humaines…
Ce n’est pas forcément un film drôle, mais très beau, émouvant…
Sami Frey et Mathilde Seigner jouent très bien !


Si vous ne l’avez jamais vu, je vous le conseille vivement…
Pour moi, le choix va être dur, car sur France 5, il y a la Grande Librairie…
Pfffffffff je verrai… ce sera suivant l’envie du moment ! !
En tout cas, bonne soirée !
Lilou

 

 

 

 


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L'Histoire de France : des origines à 1789 pour les nuls

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