Chez Lilou

Je ne vais pas être très présente ces jours-ci car je vais dès demain soir, partir vers la Champagne…
Pour samedi, faire une belle balade dans le département de l’Aube avec la visite entre autres, dans le village d’Essoye, « Du côté des Renoir ». 
En effet, Essoye est le village natal d'Aline Charigot, la femme d'Auguste Renoir… ils y passeront du temps, et en 1906, Pierre-Auguste Renoir fit construire un atelier au fond du jardin de la maison familiale.

Tout un aménagement, un espace culturel a été aménagé, avec circuit découverte, l’atelier Renoir, le jardin, l’espace des Renoir (Une exposition permanente en hommage à la célèbre famille Renoir) etc.
Nous allons donc du côté des Renoir.
Nous ? toute une bande de joyeux lurons, anciennes gymnastes de l’Espoir de Châlons en Champagne… avec familles et amis.
Ça va chanter, rire et visiter sur les routes de l’Aube… lol
Je vous raconterai sans doute ! !
Bon week-end à tous
Lilou

Et oui en quelques jours en ce début mai, 3 anniversaires bousculent voire 4 d’ailleurs quand on y réfléchit bien…
Tous différents, d’importance et portée différentes…
Aucun ne doit être oublié.
D’où ce billet un peu fourre-tout…

Je vous mets déjà un morceau choisi d’un éditorial d’Hervé CHABAUD, dans l’Union, journal local régional qui nous en dévoile 2…

« Editorial / L’autre anniversaire

Faut-il d’abord retenir dans l’actualité du jour le quatrième anniversaire de l’élection de Nicolas Sarkozy à l’Élysée, ou le huitième centenaire de la pose de la première pierre de la cathédrale de Reims ? Si le chef de l’État est moins sensibilisé à la commémoration de son propre parcours pour mieux se préparer à l’échéance de 2012, il ne peut pas être ignorant de l’événement rémois.
Notre-Dame fait signe à la chrétienté depuis le baptême de Clovis par Remi. Elle incarne la solennité du sacre royal, les souffrances humaines et les lourdes destructions de la Grande Guerre, la réconciliation franco-allemande symbolisée par la démarche conjointe du général de Gaulle et du chancelier Adenauer, l’idéal de paix dans une Europe apaisée. Son parvis est un point de rendez-vous pour en témoigner.


Le calendrier de l’histoire n’a pas ici la même force. Le bilan de l’un et de l’autre n’appartient pas au même espace et son retentissement ne garantit pas la même audience. La cathédrale éternelle est un trésor du patrimoine fruit de la foi et du talent des hommes, restauré et enrichi de siècle en siècle.
Un Président est à une place forcément éphémère dans le temps politique global même s’il a vocation à marquer de sa personnalité et de son sens du service de la Nation, une République où l’intérêt général doit être le vitrail référent de l’action. (…) »

Hervé CHABAUD

Et oui, 800 ans pour la cathédrale de Reims.
Champagne : Reims a rendez-vous avec 800 ans d'Histoire. Le 6 mai 1211, la première pierre de Notre-Dame de Reims est posée. 800 ans plus tard, la ville se prépare à célébrer l'anniversaire de la cathédrale, qui a accueilli le baptême de Clovis, durant 6 mois de festivités. Le programme sur www.cathedraledereims.fr. link


Autrement aujourd’hui 8 mai : Fête de la victoire de 1945
La fin de la Seconde Guerre mondiale a été officiellement annoncée au peuple français le 8 mai 1945 par le général de Gaulle.
Le 7 mai 1945, à 2 h 41, l'acte de capitulation allemande est signé à Reims. Les combats doivent cesser le 8 mai à 23 h 01.
Le 8 mai 1945 : fin de la Seconde Guerre mondiale (1939-45)
La nouvelle est communiquée officiellement le 8 mai à 15h.
La reddition sans conditions de l'Allemagne nazie met fin en Europe à un conflit de six ans qui a fait plusieurs dizaines de millions de morts.
Toutefois, la date du 8 mai ne marque pas la fin de la présence militaire allemande sur l'ensemble du territoire, les dernières poches de résistance - Dunkerque, Lorient, Saint-Nazaire - ne tombant que les jours suivant la capitulation du Reich.

La célébration de ce jour de victoire a considérablement évolué jusqu'en 1981, date à partir de laquelle un consensus s'est fait pour consacrer le 8 mai jour férié et jour de fête nationale.

Il y a 30 ans la gauche, avec l'élection de François Mitterrand, accédait au pouvoir.
En effet, l'élection présidentielle française de 1981 s'est tenue les 26 avril et 10 mai 1981, et a désigné le premier président socialiste de la Ve République, François Mitterrand.

Je rajoute aussi une bonne fête des mamans qui a lieu aujourd'hui au Québec !!!

mais pas besoin de jour de fête pour fêter nos mamans et les aimer...

Et oui que d’anniversaires…
A vous de choisir, ou pas, celui que vous souhaitez honorer…
Lilou

Une colère justifiée est toujours saine.
Paul Michaud

Dans la colère rien ne convient mieux que le silence.
Sappho

Les larmes diminuent l'intensité de la colère.
Massa Makan Diabaté

C'est tellement mystérieux, le pays des larmes.
Antoine de Saint-Exupéry

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Bonsoir

Je suis allée voir le premier film réalisé par Daniel Auteuil et joué par lui aussi, La fille du Puisatier, adaptation de Pagnol.
Un petit bijou que ce film !
Voilà, de toute façon, le titre de mon billet est sans équivoque ! lol
Oui magnifique moment avec les couleurs de la Provence, éclatantes, superbes ! ! L’histoire de Pagnol, belle, forte, simple et touchante…
Et tous les acteurs très bien… surtout Daniel Auteuil… franchement, il est génial ! ! Dur, touchant, honnête, fort… j’arrête, mais vraiment un grand grand acteur ! !
Voici donc les principaux acteurs de ce beau film :
Daniel Auteuil (le puisatier) - Astrid Berges-Frisbey (Patricia) - Kad Merad (Félipe) - Sabine Azéma (Mme Mazel) - Jean-Pierre Darroussin (M. Mazel) - Nicolas Duvauchelle (Jacques) - Emilie Cazenave (Amanda)…

L’histoire en quelques mots :
En coupant à travers champs pour aller porter le déjeuner à son père, Patricia rencontre Jacques. Elle a dix-huit ans, il en a vingt-six. Elle est jolie, avec des manières fines de demoiselle ; il est pilote de chasse et beau garçon. Un peu de clair de lune fera le reste à leur seconde rencontre. Il n'y aura pas de troisième rendez-vous : Jacques est envoyé au front. Patricia attendra un enfant de cette rencontre. Les riches parents du garçon crieront au chantage, Patricia et son père, le puisatier, auront seuls la joie d'accueillir l'enfant. Une joie que les Mazel leur envieront bientôt et chercheront à partager, car Jacques est porté disparu...

Avant de débuter le tournage du film, Daniel Auteuil est parti arpenter la Provence de son enfance, qui allait devenir le théâtre de sa première réalisation. Il a ainsi pris son temps pour reconnaître le terrain, les différents décors, et pour constituer son équipe technique, faisant appel à des personnes qu'il connaissait bien. "Des gens avec qui je me sentirais en confiance et par qui je me sentirais épaulé pour fabriquer, tous ensemble, ce film que je voulais comme un bijou !," raconte Auteuil.
Il s'est beaucoup appuyé sur le texte de Marcel Pagnol. "Je voulais que le sens de la caméra vienne du texte. C’est comme ça que j’ai préparé le film. Chaque plan est né des mots, de la situation, des émotions…", raconte-t-il.

 

Pour Daniel Auteuil, le maître mot pendant tout le tournage de La Fille du puisatier était la vie : dans le jeu de ses acteurs, dans les sons et dans les images du film. Il a ainsi demandé au directeur de la photographie Jean-François Robin d'éclairer les décors en conséquence, lui demandant de faire ressortir la peau des comédiens, leurs sentiments et leurs sensations.

Plus qu'un hommage à l’œuvre de Marcel Pagnol (qui le touche énormément), La Fille du puisatier de Daniel Auteuil est également un hommage à la région qui a vu grandir le comédien (la Provence), ainsi qu'aux parents de ce dernier. "C’est sûr, mes parents sont partout", confie le cinéaste, "dans les images, dans les paysages, dans les airs d’opéra que chante Caruso et que chantait mon père, dans les personnages…" 

Ce film, pour lui, est le résultat de toute une vie.
Petite anecdote amusante, le fils de Patricia, merveilleux bébé et petit fils du puisatier, est en fait le fils de Daniel Auteuil, Zachary, qui, à 6 mois, a fait ses débuts d’acteur…
« Dès le début, j’avais décidé de le prendre pour jouer le bébé ; avant même sa naissance, j’en avais parlé avec Aude. Ma grande peur, c’était qu’il soit vilain. S’il l’avait été, je ne l’aurais jamais pris. [Rires.] Non seulement il est très réussi, mais c’est déjà un excellent acteur et, en plus, comme il est blond, il ressemble à Nicolas Duvauchelle, qui joue son père ».

je vous propose ici de visionner la bande annonce de ce film…
et si le cœur vous en dit, surtout ne résistez, courrez le voir ! !
bon film ! ! !
Lilou