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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 15:27

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Il y a quelques jours nous sommes allés voir ce film, Dracula Untold… très sympa et à voir pour les amateurs du genre…

j’ai hésité à faire un billet car je n’ai pas trouvé beaucoup de détails inédits, croustillants lol

Mais bon, tant pis, j’en fais un pour que vous ne passiez pas à côté si vous aimez… Il passe encore au cinéma, alors profitez en ! On passe un bon moment avec Vlad. C’est un homme qui aime passionnément sa famille et son peuple et qui pour les sauver, va aller chercher une très grande force, mais à un prix terrible : devenir un vampire… un vampire qui a une âme et des bons sentiments… hé hé moi j’aime !

 

Film réalisé par Gary Shore et sorti au cinéma le 1er octobre 2014.

Avec Luke Evans (beau gosse, un petit quelque chose d’Orlando Bloom, il joue ici Vlad, le rôle principal, on l’a déjà vu dans Bilbo le Hobbit, sous les traits de Bard), Sarah Gadon (la jolie femme de Vlad), Dominic Cooper (dans le rôle de Mehmet, il a joué dans Mamma Mia, le fiancé de la fille de Meryl Streep) et Charles Dance (dans le rôle du Maître Vampire, la voix française est celle du Dr House lol)

 

 

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Synopsis et détails

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

L’histoire débute en 1462. La Transylvanie vit une période de calme relatif sous le règne du prince Vlad III de Valachie et de son épouse bien-aimée Mirena. Ensemble, ils ont négocié la paix et la protection de leur peuple avec le puissant Empire ottoman dont la domination ne cesse de s’étendre en Europe de l’Est. Mais quand le sultan Mehmet II demande que 1000 jeunes hommes de Valachie, dont le propre fils de Vlad, Ingeras, soient arrachés à leur famille pour venir grossir les rangs de l’armée turque, le prince doit faire un choix : abandonner son fils au sultan, comme son père l’a fait avant lui, ou faire appel à une créature obscure pour combattre les Turcs et par là même assujettir son âme à la servitude éternelle. Vlad se rend au pic de la Dent Brisée où il rencontre un abject démon et conclut un accord faustien avec lui : il acquerra la force de 100 hommes, la rapidité d’une étoile filante et les pouvoirs nécessaires pour anéantir ses ennemis, en l’échange de quoi, il sera accablé d’une insatiable soif de sang humain. S’il parvient à y résister pendant trois jours, Vlad redeviendra lui-même, et sera à même de continuer à protéger et gouverner son peuple, mais s’il cède à la tentation, il entrera le monde des ténèbres pour le restant de ses jours, condamné à se nourrir de sang humain et à perdre et détruire tout ce et ceux qui lui sont chers.

 

 

Voici la bande annonce :

 

 

 

 

 

Vu sur Allo ciné

Afin de se démarquer des nombreux films portant sur le personnage, les scénaristes de Dracula Untold ont choisi de s’inspirer du roman de Bram Stoker d'une part, puis d’orienter le récit sur les origines réelles de Vlad III l’Empaleur, lesquelles remontent au 14ème siècle. On retrouve donc dans le film, tant des éléments historiques (La menace de l’Empire Ottoman, le conflit avec Mehmet et les Turcs), que des ajouts fictifs.

 

Il va falloir que je lise enfin le roman de Bram Stoker…. pffff pas encore lu !

 

Gary Shore explique : "Nous souhaitions fouiller de nouvelles pistes qui ne soient pas conditionnées par ou asservies à la mythologie préexistante. C’est un film d’aventures. On voit Vlad prendre des décisions difficiles qui concernent sa femme et son fils. Ses actes sont la conséquence de ses choix dans des situations précises et il est motivé par la préservation de sa famille et de son peuple."

 

Charles Dance, qui joue ici le rôle du Maître Vampire à l'origine de la transformation de Vlad en Dracula, avait déjà interprété un suceur de sang dans Underworld : Nouvelle ère.

 

C'est le célèbre cascadeur Buster Reeves, connu pour avoir travaillé sur The Dark Knight Rises, qui a été chargé de chorégraphier les scènes de combat de Dracula Untold. Pour remplir sa mission à bien, il s'est énormément documenté et s'est renseigné sur des techniques de combat pratiquées en Transylvanie. Il raconte : "J’ai d’abord fait des recherches sur les techniques de combat en Transylvanie où on utilisait principalement de lourdes et larges épées, puis chez les Turcs, dont le style est influencé par leurs voisins asiatiques, avec beaucoup de mouvements circulaires. Nous avons combiné ces deux approches pour créer le style personnel de Vlad : la puissance et l’agilité du glaive avec la fluidité et la rapidité du cimeterre turc."

 

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3 mois

C'est le temps qu'il a fallu aux équipes de tournage et aux acteurs pour préparer la scène dans laquelle Vlad se confronte à un millier d'hommes, aidé par un "essaim" de chauves-souris. Pour l'anecdote, seulement 130 figurants étaient présents pour tourner la séquence, mais l'effectif a été décuplé au moyen d'effets spéciaux de pointe. Les chauves-souris quant à elles ont été ajoutées en post-production.

 

Quand bien même l'histoire de Dracula a pour cadre les contrées roumaines, ce sont les paysages nord-irlandais (pays dont est originaire le réalisateur) qui servent de décors au film. Les équipes de tournage ont été locataires de l'île britannique entre août et novembre 2013.

 

 

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 16:04

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Ce n’est pas un secret, j’avais beaucoup aimé le 1er épisode de cette nouvelle trilogie de la Planète des singes, prequel (œuvre contant l'histoire avant l'histoire d'une autre œuvre) comme on dit maintenant, du film tiré du livre de Pierre Boulle, la Planète des singes (monde dominé par des singes évolués et dont les humains sont réduits à l’esclavage et au rôle des primates dans notre monde).

J’avais donc adoré « La Planète des Singes : les origines » réalisé par Rupert Wyatt en 2011 avec le charismatique César (singe, pour ceux qui ne l’ont pas vu).

J’avais un peu peur d’être déçue par la suite d’autant que l’un des personnages principaux, Will joué par James Franco (qui élève César) n’était pas du casting dans cet épisode. De plus, changement de réalisateur. En effet « La Planète des singes : l’affrontement » est réalisé par Matt Reeves.

 

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Ouf, ces 2 craintes ont été levées. Bonne réalisation et d’autre part, le personnage de Will est décédé par l’épidémie simiesque, donc pas d’adaptation à avoir et le rôle principal de « l’être humain » qui donne la réplique à César est Jason Clarke dans le rôle de Malcom, et il s’en tire très bien. César est toujours « joué » par l’excellent Andy Serkis qui est également le fameux Gollum dans le Seigneur des anneaux. Bravo pour sa performance et d’ailleurs bravo à tous ceux qui « jouent » les singes… Très bon rendu, on y croit à fond !

D’ailleurs, il faut donner de sa personne pour jouer dans la Planète des singes quand on interprète un singe…

« Judy Greer (Cornelia, la femme de César) et Toby Kebbell (Koba, le « méchant ») durent apprendre, avant de pouvoir incarner leur personnage simiesque, à se déplacer et à se comporter physiquement comme des chimpanzés, de façon à rendre leur alter-ego numérique ultra réaliste à l'écran. Ils furent personnellement coachés pendant plusieurs semaines et utilisèrent notamment des béquilles, pour simuler la longueur de leurs bras dont ils devaient se servir différemment, surtout pour marcher ».

Pour info, je vous mets les photos de Toby Kebbell et Andy Serkis avec leurs pendants singes respectifs !

 

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Voici le Synopsis :

Une nation de plus en plus nombreuse de singes évolués, dirigée par César, est menacée par un groupe d’humains qui a survécu au virus dévastateur qui s'est répandu dix ans plus tôt. Ils parviennent à une trêve fragile, mais de courte durée : les deux camps sont sur le point de se livrer une guerre qui décidera de l’espèce dominante sur Terre.

 

C’est donc une suite logique : « « La Planète des singes : l'affrontement » débute là où « Les Origines » s'était arrêté. À la fin du volet précédent, les singes se libéraient de leur captivité au moment où un virus mortel créé par les humains se répandait dans le monde. César, leader bienveillant des singes, a conduit les siens en sécurité à Muir Woods, non loin de San Francisco. Hors de cette enclave, une pandémie, la grippe simienne, a décimé la plus grande partie de l’espèce humaine. La civilisation a décliné peu à peu, et l’humanité a pratiquement disparu ».

 

 

Voici la bande annonce pour vous donner envie…

 

 

 

 

Une info que je découvre en faisant ce billet et que mon amour pour le Canada me fait vous la mentionner… hé hé « Le tournage a eu lieu, comme une partie du premier volet, au Canada, en Colombie-Britannique. C'est pour la diversité de ses sites, et notamment ses forêts, que le lieu fut choisi, ainsi que pour son isolement relatif : les scènes furent en effet tournées sur l'île de Vancouver et à Campbell River. Certaines séquences supplémentaires furent également filmées à la Nouvelle-Orléans ».

« Le réalisateur Matt Reeves s'est inspiré de son expérience sur le tournage de Cloverfield (film que je n’avais pas aimé, perso), pour apporter une touche de réalisme et de dynamisme à « La Planète des singes : l'affrontement ». Un réalisme d'autant plus renforcé par le choix de la production de tourner en extérieur, contrairement au premier épisode, qui a majoritairement été filmé en intérieur. Ainsi, plus de 85 % du film a été tourné dans les forêts de Vancouver et dans la région de La Nouvelle-Orléans, au moyen de caméras 3D ».

C’est vrai que le film se passe essentiellement en forêt et que c’est absolument majestueux !

 

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Le film alterne bien les passages d’action et les passages plus « tendres », nostalgiques, humanistes. Le temps passe très vite.

Bref, je trouve que c’est un très bon film à voir s’il passe encore chez vous ou à attendre avec impatience en DVD.

 

 

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29 décembre 2013 7 29 /12 /décembre /2013 17:29

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Il sera dit qu’en cette fin d’année 2013, je ne quitterai pas l’Afrique du Sud…

Après m’être replongée dans le livre de Caryl Ferey, l’excellent Zulu (désolée je me répète, mais quand c’est vrai, c’est vrai, on ne peut dire autre chose) et être allée voir deux fois, -et oui !- son adaptation au cinéma par Jérôme Salle, très bonne adaptation, à voir et bien sûr à lire… La mort de Nelson Mandela, le soir après mon retour du ciné pour voir Zulu (la 1ère fois… quelle impression bizarre !).

Et la sortie de ce très beau et bon film, Mandela : Un long chemin vers la liberté, tirée de l’autobiographie de Nelson Mandela. Rien que de voir la bande-annonce, j’étais très émue.

Je n’ai pas été du tout déçue par le film… On apprend beaucoup de choses… et l’Afrique du Sud est magnifique.

Evidemment, j’ai voulu de suite, lire le livre… ce que je suis en train de faire… car même si un film est bon, il ne peut restituer l’ensemble du livre… C’est passionnant.

Je suis donc allée voir ce film de Justin Chadwick avec dans le rôle de Nelson Mandela, Idris Elba et celui de Winnie, Naomie Harris (très bonne !).

Il passe encore sur vos écrans, allez vite le voir…

 

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Bon juste pour info, voici le synopsis :

Né et élevé à la campagne, dans la famille royale des Thembus, Nelson Mandela gagne Johannesburg où il va ouvrir le premier cabinet d’avocats noirs et devenir un des leaders de l’ANC.

Son arrestation le sépare de Winnie, l’amour de sa vie qui le soutiendra pendant ses longues années de captivité et deviendra à son tour une des figures actives de l’ANC.

À travers la clandestinité, la lutte armée, la prison, sa vie se confond plus que jamais avec son combat pour la liberté, lui conférant peu à peu une dimension mythique, faisant de lui l’homme clef pour sortir son pays, l’Afrique du Sud, de l’impasse où l’ont enfermé quarante ans d’apartheid. Il sera le premier Président de la République d’Afrique du Sud élu démocratiquement.

 

 

Et la bande annonce…

 

http://www.youtube.com/watch?v=rnho_qHoeDg

 

 

 

 

 

 

Je l’ai vu en VOST, et je vous conseille d’en faire autant… vraiment !!!

 

Quelques petites infos, glanées sur Allo.ciné.com…

 

« D’origine indienne, le producteur sud-africain Anant Singh, autrefois partisan du mouvement d’opposition à l’Apartheid, n’était pas considéré comme un citoyen blanc durant la ségrégation. Lorsqu’il a débuté sa carrière, il était l’un des premiers à produire des films engagés, mais n’avait ironiquement pas le droit d’assister à leurs projections dans les cinémas d’Afrique du Sud de nature séparatiste ».

 

« Avant qu’Un long chemin vers la liberté ne soit publié en 1995, Nelson Mandela avait fait lire le manuscrit au producteur Anant Singh : "Ça m’a pris le weekend et je lui ai immédiatement dit : 'il y a de quoi en faire un film considérable, je dois le faire !'" Deux mois plus tard, quand le livre a été publié, les offres arrivèrent d’Hollywood en abondance et la surenchère commença. Singh revient sur ce que Mandela lui avait alors déclaré : "C’est une histoire sud-africaine, c'est toi qui doit la raconter". C’est donc le leader en personne qui a cédé au producteur les droits d’adaptation tant convoités : "Tout ce que j’ai pu lui offrir en retour était la promesse de faire un film dont il serait fier." »

Je crois malheureusement que Nelson Mandela n’a pas vu le film puisqu’il est mort le soir de l’avant-première à Londres… la vie parfois, se télescope !

 

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« Le scénariste William Nicholson ainsi que les producteurs David Thompson et Anant Singh avaient déjà collaboré tous les trois pour Sarafina!, une comédie musicale autour de la libération de Nelson Mandela ».

je vous ai mis aussi cette petite anecdote car je n’ai pas vu le film, mais j’ai vu la comédie musicale à Paris, en anglais… Tout simplement, magnifique, époustouflant, émouvant, dure et belle !!! Avec une troupe de jeunes écoliers sud-africains…

Il faudra que j’essaie de voir ce film.

Comme certains le savent, j’ai toujours été attirée, intéressée par l’Afrique du Sud.

 

« Mandela : Un long chemin vers la liberté retrace 70 ans de la vie du premier président de la république d’Afrique du Sud. Ainsi, trois acteurs l’incarnent : Siza Pina durant son enfance, Atandwa Kani de 16 à 23 ans et Idris Elba de 23 à 76 ans. Pour faire évoluer le visage du comédien britannique sur 53 années, de nombreux travaux en termes de maquillage ont été nécessaires. La chef maquilleuse Megan Tanner a dû faire appel à Mark Coulier, spécialiste en prothèses de latex qui avait obtenu l'Oscar du Meilleur maquillage pour La Dame de fer, un autre biopic ».

Je ne remets pas en cause le travail effectué par cette chef maquilleuse, mais j’avoue que le jeune avocat de 23 ans, donnait plutôt l’impression d’un homme de 40 ans lol

L’enfance et l’adolescence sont peu évoquées dans le film (normal un film en peut être à rallonge… d’où la nécessité je trouve de lire le livre, qui lui revient plus longuement dessus, et cette période me parait fort importante dans la formation et la vie de Nelson.)

 

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16 ans !!!

« Le producteur Anant Singh ne souhaitait pas faire appel à un scénariste sud-africain par souci d’impartialité. Il a donc demandé au scénariste anglais William Nicholson d'adapter les mémoires de Nelson Mandela. 16 années ont été nécessaires pour venir à bout de ce travail colossal : "C’était une expérience plutôt terrifiante. Je sentais le poids d’une énorme responsabilité : il fallait que je la raconte bien sans passer à côté de l’histoire. On peut aussi avoir peur d’offenser les gens, d’omettre des faits, de donner une fausse image de toutes ces personnes qui ont vécu cette période, parfois sacrifié leur vie ou tout au moins une grande partie", explique Nicholson ».

 

« Mandela : Un long chemin vers la liberté est directement adapté des mémoires du leader sud-africain. Ces dernières ont été rédigées et sont sorties durant son incarcération. Ses codétenus ont joué un rôle déterminant dans la parution de cet ouvrage. Ils s’occupaient de relire, condenser les 600 pages de la version finale en seulement 50 et faire sortir le livre clandestinement de prison ».

Bon je me répète lol A LIRE !!!

 

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« Pour réaliser ce film, l’intervention du coach dialogue Fiona Ramsey était indispensable en raison des 11 langues officielles d’Afrique du Sud. Idris Elba a ainsi dû oublier son accent cockney, un accent très prononcé de l’est londonien, qui a fait le succès de Michael Caine ».

D’où l’intérêt de le voir en version originale sous-titrée ! cqfd

 

« Pour ajouter de la crédibilité à son film, Justin Chadwick a décidé avec la directrice de casting Moonyeenn Lee de faire appel à 140 anciens prisonniers de Robben Island ayant côtoyé de près ou de loin Nelson Mandela ».

Rien à redire…

 

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« Trouver des décors s’est avéré une affaire plus complexe qu’il n’y paraissait. En effet, la majorité des lieux décrits dans le livre par Nelson Mandela ont extrêmement changé ou sont désormais interdits d’accès. Il n’aurait de plus pas été correct vis-à-vis des Sud-Africains de recréer en pleine rue des scènes d’affrontement qui ont choqué l’ensemble de la population. Pour ces diverses raisons, une importante partie du film a été tournée en studio ».

 

« Avec ses 12.000 figurants, Mandela : Un long chemin vers la liberté devient le quatrième film de l’histoire avec le plus de figurants, juste après Le Seigneur des anneaux : le retour du roi qui en compte 20.600, reléguant ainsi La Bataille de Solferino, sorti 3 mois plus tôt, à la cinquième place ».

 

 

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Voili voilou…

Prenez le temps d’aller le voir… vous en apprendrez beaucoup !

Et je voudrais rajouter ici, que franchement, cet homme a tout donné de sa vie pour son peuple, pour la justice, pour la liberté…

Car dans ce combat il a tout perdu.

C’était un homme généreux, intelligent, pragmatique et terriblement sage… je ne sais toujours pas comment il a réussi à accomplir tout ce qu’il a fait après 27 ans d’emprisonnement.

Alors quand j’entends ou lis de ci de là… Mandela ? ah oui mais il a usé de la violence… ça me met dans une rage folle….

je ne cautionne pas la violence, mais quand on subit ce que le peuple africain a subi en Afrique du Sud, leur pays… et sommet de tous les sommets d’inhumanité, ce système de l’apartheid, la violence peut se comprendre…

Mais cet homme a su reconnaître son erreur, et passer de la violence à la non-violence, contre souvent ses propres amis, sa femme… et travailler avec les tortionnaires, les dominants pour le bien de son peuple, mais surtout finalement pour le bien de TOUS.

Alors franchement avant de parler, merci de réfléchir, de lire et de comprendre.

 

 

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 15:08

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Bon, je m’y colle…

J’ai tellement attendu ce film… j’aime tellement le livre dont c’est l’adaptation…

Je l’ai tout de même vu 2 fois, et oui lol

Et en plus, télescopage avec la mort de ce grand homme qu’est Nelson Mandela…

Bref, tout cela réunit, fait beaucoup, beaucoup d’émotions pour moi… et du coup, je suis toute « paralysée » pour réaliser ce billet… ce n’est pas le bon terme, mais je ne trouve rien qui se rapproche de ce que je ressens… la langue française est pourtant riche, mais là… où alors c’est moi qui ne sait plus l’utiliser lol

Donc, au commencement, pour moi en tout cas, il y a une amie qui me fait découvrir un thriller se passant en Afrique du Sud (il y a maintenant quelques années) et par là-même découvrir un auteur.

Je parle de Zulu de Caryl Ferey.

J’ai tout simplement adoré.

Faut dire que déjà l’Afrique du Sud m’a toujours « touché », « parlé »…. j’ai quasiment lu tout André Brink, auteur afrikaner qui a écrit contre l’apartheid, pendant l’apartheid. Pour moi, grand écrivain et un homme bien… ce qui veut dire beaucoup pour moi.

Avec l’amie qui m’a fait découvrir Zulu, nous avons eu l’immense chance de l’entendre dans une conférence passionnante et humaine, à Charleville-Mézières… oui oui dans les Ardennes ! un homme instruit, humain, et qui aime la France (réducteur ces seuls 3 qualificatifs, mais faut bien résumer… car je sens que ce billet va s’allonger outrageusement !). Merci encore à toi de m’avoir fait découvrir Caryl Ferey, déjà dit, mais vraiment que c’est vrai ! Ce qui est « drôle », je vous dis tout, c’est que cette amie, n’aime pas trop lire la violence… hé hé… j’ai lu tout Caryl Ferey depuis (oui je suis devenue une fan inconditionnelle…) et elle, non… non pas qu’elle n’aime pas ce qu’il écrit, mais mais… trop violent.

Bon allez, je reviens au sujet du billet.

Ce film a donc déjà le grand avantage d’être l’adaptation d’un EXCELLENT ouvrage….

 

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Mais vous allez me dire, parfois (souvent ?) les adaptations déçoivent… c’est vrai.

Mais pas ici ! NON NON !!

avant d’y aller, j’étais déjà assez confiante, dans le sens, que Caryl Ferey avait l’air satisfait et qu’il avait été sur le tournage, s’était bien entendu avec le réalisateur, Jérôme Salle, et les acteurs et toute l’équipe… déjà un bon point.

En plus, les 2 acteurs principaux retenus, sont tout de même des pointures (époustouflant transformation du gentil elfe en Brian… je parle d’Orlando Bloom bien sur… je n’arrive plus à savoir si je le préfère en Legolas ou Brian… pour info, je suis fan du Seigneur des anneaux !). Et bien sur Forest Whitaket, toujours excellent.

Autre point positif à mon goût… le temps passé en Afrique du Sud par l’équipe… de mémoire, je crois un an… et aussi parce qu’à part quelques Français, les 2 acteurs principaux, tout le reste de l’équipe était sud-africaine. Je vois là, du respect pour ce pays. Et j’aime ça.

Bon… avec tout ça, déjà, j’y allais le cœur confiant, et avec beaucoup, beaucoup d’impatience.

ayant lu le livre, je savais que ce film serait « violent »… et pas à l’eau de rose… et aussi que ce serait une certaine vérité qui a tendance à vouloir être oubliée… car tout de même, ok l’apartheid c’est fini… l’Afrique du Sud a eu l’immense chance d’avoir Nelson Mandela, homme capable de réfléchir, de ne pas se laisser aller à la violence, à la vengeance (légitime ma foi…), capable, à mon avis, non pas de pardonner à ceux qui l’ont torturé, enfermé …. Mais d’avoir la capacité d’être lucide et de leur tendre la main pour travailler ensembles, pour le bien commun du pays. Mais tout n’est pas réglé, on n’est pas au pays des bisounours !

Donc, ce film a ce courage là. De montrer l’Afrique du Sud, telle qu’elle est… et aussi de se questionner sur cette idée de pardon, de justice, de vengeance….

Le personnage d’Ali, joué par le merveilleux Forest Whitaker, porte toute cette question délicate, il joue tout en finesse, en contradiction… et vraiment, c’est rude mais indispensable….

Les 1ères images du film… et les quasis dernières sont d’une force… incroyable !!!!!

Forcément dans le livre, c’est plus fouillé, mais Jérôme Salle a su mettre en images… fortes, puissantes, la complexité de l’âme humaine.

Aidé aussi par la beauté, bien particulière, de l’Afrique du Sud… et une lumière incroyable !!!! Merci.

Lors de ma 2e séance, j’ai pu encore plus apprécier cette beauté, et aussi la finesse du jeu des acteurs….

Tiens, pendant que je parle des acteurs, donc Orlando et Forest… extraordinaires….

l’acteur sud-africain, Conrad Kemp, qui joue Dan, est juste parfait… quand je lisais Caryl, je le voyais comme ça… lunaire, gentil, naïf… super !!!

La maman d’Ali dans le film… est l’image même de la tendresse faite femme… je trouve cette « vieille » femme, tellement belle… que dire d’autre…

Bon je m’arrête là, car tous les autres sont bons, très bons… la femme de Dan, Janet aussi, timide amoureuse de Dan, l’affreux Kruegger… etc.

 

Zut, je me rends compte, que j’ai complètement oublié de vous mettre le synopsis comme je fais d’habitude, tellement habitée par ce film, que j’ai l’impression que tout le monde connait lol

Désolée !

Le voici :

"Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs".

Pourquoi ce synopsis oublie qu’il y a un 3e équipier, Dan ? pfffffff

 

Et la bande annonce…

 

 

 

 

Bon je vais essayer de quitter un peu mes émotions, et vous donner quelques éléments un peu plus descriptifs…

 

Déjà, juste pour info… Zulu a été le film de clôture du 66e Festival de Cannes 2013.

Et oui, rien que ça !!!

 

Quand je fais un billet sur un film j’aime regarder les secrets de tournage sur allociné.com… on y trouve toujours des infos sympas…

En voici quelques unes ! J

 

« La plupart des acteurs sud-africains ne sont malheureusement pas très sollicités dans les productions internationales. Aussi, Jérôme Salle souhaitait que la majorité du casting de Zulu soit sud-africaine, ce qui a par la suite permis à Conrad Kemp (Dan Fletcher) de décrocher un rôle à Broadway dans "Roméo et Juliette", au côté d’Orlando Bloom ».

J’en suis bien contente, et cela m’apparait mérité !

 

 

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J’avais vaguement entendu parler de cela…

« Randal Majiet, qui incarne ici Cat (le véritable psychopathe, le chat, dans le film, brr !), est un ancien membre de gang. Jérôme Salle revient sur cette rencontre : "La journée, il tournait face à Forest Whitaker et le soir il rentrait, toujours accompagné d’un responsable, à son centre de réhabilitation. Je l’ai revu récemment. Il est sorti du centre. Il va bien. Il travaille. Il a un agent et il est bien décidé à continuer dans cette voie. Ce travail d’acteur lui a permis de donner une nouvelle direction à sa vie »."

 

« A la base, Ali Sokhela devait être interprété par Djimon Hounsou. C’est finalement Forest Whitaker qui reprendra le flambeau, après que l’acteur béninois ait quitté le projet ».

Et bien je ne connais pas vraiment l’autre acteur qui a dit non, mais j’avoue être ravie que ce soit Forest Whitaker qui joue… je me répète, mais il est EXCELLENT !!!!

Comme d’hab lol

 

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« Orlando Bloom (Brian Epkeen) tient son nom de famille d’Harry Bloom, un écrivain et journaliste sud-africain qui a passé sa vie à lutter contre l’apartheid. Il a notamment collaboré avec Nelson Mandela avant d’être obligé de fuir le pays : "A 13 ans, j’ai découvert que cet homme que je croyais être mon père, en fait ne l’était pas d’un point de vue biologique. Cela dit, pour moi, il l’est de fait. L’homme qu’il était, ses idées sont profondément ancrées en moi, dans mon esprit et mon cœur", confie l’acteur ».

Je ne savais pas du tout… ceci explique peut être le fait, en plus d’une belle conscience professionnelle, qu’Orlando Bloom soit venu un mois avant le début du tournage en Afrique du Sud, pour se préparer… j’avais entendu ça lors des interviews au moment de Cannes.

Faut dire aussi qu’il avait été à bonne école lors du tournage en Nouvelle Zélande pour le Seigneur des anneaux, avec Peter Jackson !

 

 

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« Le cinéaste Jérôme Salle a eu l’opportunité de tourner certaines scènes de Zulu dans les ghettos africains : "Cape Flats, c’est autre chose. Là, vous ne verrez aucun touriste ! C’est la misère, la prostitution, les supermarchés de la drogue... C’est le chauffeur qui conduisait notre mini van pendant les repérages qui m’y a emmené: un membre de sa famille y dirige un gang ! Nous avons tourné dans des coins où personne n’avait tourné avant nous. Personne." »

Quand je pense que j’ai vu certaines conneries sur Facebook disant que Caryl Ferey n’était jamais allé en Afrique du Sud etc. j’ai aimé l’humour et le fair-play de Caryl et de Jérôme Salle qui répondaient, en gros, « Zut, on l’a tourné à côté de Limoges, j’espérais que ça ne se verrait pas trop » ! Chapeaux bas messieurs… et honte à la connerie humaine qui est sans borne !!

 

Je reviens sur le fait que l’équipe était quasi à 100% sud-africaine…

« Jérôme Salle tenait à réaliser un film dont la véracité serait appréciée par l’Afrique du Sud. Il s’est donc énormément renseigné et a décidé de réunir une équipe quasiment 100% sud-africaine : "Nous n’étions que cinq Français sur place. Tout le reste de l’équipe et du casting, mis à part Forest et Orlando, était composé de Sud-africains. J’ai tout de suite été clair en leur disant que je venais faire un film qui parlait d’eux, de leur pays, et que j’abordais ce travail avec beaucoup d’humilité, que j’avais besoin d’eux pour tenter de coller à la réalité de ce pays si complexe." »

 

Anecdote juste pour les filles lol

« Dans sa première scène, Orlando Bloom apparait entièrement nu et présente une grande cicatrice dans son dos. Il s’agit de la vraie balafre du comédien : à la fin des années 1990, l’acteur a eu un grave accident après avoir escaladé une gouttière et en être tombé. Conséquence : plusieurs vertèbres brisées et une opération chirurgicale délicate. Après avoir porté des plaques de métal pendant un an, il parviendra à marcher normalement. Mais son corps portera à jamais la marque de cet accident ».

Bon sang, j’ai vu 2 fois le film, évidemment j’ai vu cette scène… je n’ai pas vu cette cicatrice lol

À quoi je pensais ? mdr

En tout cas, la première fois, je me demandais bien qui était dans son appart… la 2e fois, je ne sais plus…

Bon je ne vois qu’une chose à faire, j’y retourne une 3e fois mdr

En tout cas, blague à part, je peux vous dire que j’ai regardé TOUS les bonus de la trilogie du Seigneur des anneaux… oui comme vous voyez, quand j’aime, j’aime… et bien Orlando Bloom, alias Legolas, a fait beaucoup des cascades de son rôle… et il a même continué à tourner, courir, alors qu’il s’était blessé dans une scène (côtes cassées si mes souvenirs sont bons… conscience professionnelle…).

 

 

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la fameuse scène mais de face lol

 

D’ailleurs, en parlant de conscience professionnelle, j’ai entendu lors d’interviews des acteurs, qu’Orlando et Forest, ont tous les deux, travaillé, beaucoup, leur accent pour être crédibles en version originale.

Je déplore sincèrement qu’on ne diffuse pas en France, en tout cas à Charleville, la version originale sous titrée, qui je pense, serait un gros « plus » pour le film….

Tant pis, mais très dommage !!

 

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scène tellement forte, des 3, avant....

 

Pour en terminer, oui je sais, je suis longue, pardonnez-moi, j’espère ne pas vous avoir ennuyé… Allociné.com a la délicatesse et l’honnêteté de revenir un instant sur le livre de Caryl Ferey, sans qui, rien n’aurait été…

« Le roman "Zulu" a reçu énormément de récompenses lors de sa parution en 2008, comme le Grand Prix de Littérature Policière ou encore le Grand Prix du Roman Noir Français. De nombreux producteurs ont tenté d’acheter les droits d’adaptation du livre de Caryl Ferey, mais le producteur Richard Grandpierre a été le plus rapide ».

 

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Caryl Ferey et Jérôme Salle devant l'affiche du film....

 

Je complète juste la liste des prix, et je vous mets le lien vers la fiche du livre sur Babélio… bien sur lol

Prix du Roman Noir Nouvel Observateur/Bibliobs 2009

Grand prix des lectrices de Elle, Policier 2009

Prix Jean Amila-Meckert 2009

Prix des Lecteurs Quais du Polar 2009

Prix Mystère de la Critique 2009

 

http://www.babelio.com/livres/Ferey-Zulu/81770

 

Voilà… j’ai sans doute oublié plein de choses…

Je ne vous dirai plus rien, sauf d’aller très vite dans les salles de cinéma voir ce film… et aussi, si vous ne connaissez pas encore, d’ouvrir un livre de Caryl Ferey… Zulu bien sur, mais aussi Utu, Haka… et le magnifique Mapuche !!!!!!!!!!!!! J’attends avec impatience son adaptation ciné… et le prochain livre de Caryl qui se déroulerait au Chili, un autre de mes pays « coup de cœur »…

Bon film et bonne lecture…

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout !

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 20:31

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Allez un petit billet ciné, y avait longtemps.

Beaucoup, beaucoup de plaisir hier soir quand j’ai regardé ce film, Cheba Louisa, que j’avais repéré depuis sa sortie. La bande annonce me plaisait bien et j’aime bien l’actrice Isabelle Carré.

D’ailleurs, tous les acteurs sont bons dans ce film mais les 2 actrices principales, Rachida Brakni et Isabelle Carré, sont tout simplement FORMIDABLES.

Ce film m’a procuré beaucoup d’émotion, de sourire et de pêche !

Et puis l’amitié… la vraie, je veux dire… et bien il n’y a que ça de vrai, de bon !!!

 

Cheba Louisa est le premier film réalisé par Françoise Charpiat, sorti en mai 2013.

 

Avant d’aller plus loin, le synopsis :

A 30 ans, Djemila, juriste célibataire a enfin son propre appartement... à deux pas de chez ses parents. Française d'origine maghrébine, elle fait tout pour gommer ses origines. Emma, sa voisine déjantée et fauchée, rame pour élever seule ses deux enfants. Alors que tout oppose les deux femmes, une amitié profonde va naître grâce à leur amour de la musique.

allociné.com

 

Oui un peu rapide… un plus détaillé trouvé sur wikipédia.

Djemila, une jeune femme franco-algérienne bien intégrée dans la société française, a un bon job dans une compagnie d'assurances. Amoureuse de Fred, son collègue de bureau qui n'est pas arabe, elle est par ailleurs promise à un algérien de son quartier par un mariage forcé que lui impose sa famille dans un délai très bref. (…) Tiraillée entre les deux traditions, elle « ment » aux uns et aux autres par manque de courage et pour ne blesser personne.

Djemila emménage dans un appartement pour prendre son indépendance, en essayant de vivre sa vie « loin » de l'oppression familiale. Elle rencontre Emma, sa voisine de pallier, une jeune femme caissière dans un supermarché, en difficultés financières et qui élève seule ses deux enfants. Les premiers contacts, froids et méprisants, font vite place à une grande amitié, grâce à l'attachement que Djemila porte aux enfants d'Emma.

Djemila vient au secours d'Emma lorsqu'elle a un besoin urgent d'argent pour ses enfants, et Emma va convaincre Djemila de gagner une vraie indépendance par rapport à ses racines en l'incitant à se lancer comme chanteuse dans un cabaret de tradition arabe. En effet, douée pour la musique à l'instar de sa grand-mère « Cheba Louisa », une célèbre chanteuse traditionnelle algérienne que Djemila admire en chantant ses chansons en cachette, et qui prônait alors dans sa musique la libération de la femme.

 

 

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Le point de départ du film… cela me paraît important que je vous le soumette :

« Françoise Charpiat s'est plongée dans l'écriture de Cheba Louisa pour deux raisons. La première : elle n'a pas supporté le débat autour de l'identité nationale, initié à l'époque par le ministre de l'immigration Eric Besson. Elle voulait trouver un moyen d'y répondre à sa manière. La seconde : un article de "Libération". Le journal dressait le portrait d'une chanteuse de cabaret, dans la périphérie de Paris. Accompagnée de sa co-scénariste, Mariem Hamidat, elle s'est rendue au cabaret "Zéfira" et s'est imprégnée de l'atmosphère de ce lieu : "C'était comme me retrouver dans les guinguettes de bord de Marne du siècle dernier. Les gens y viennent en famille, de la jeune fille à la grand-mère, on boit du thé à la menthe ou de l'alcool, et tout le monde danse très bien... y compris les garçons (rires). J'étais la seule « Française d'origine » et je ne m'y suis jamais sentie mal à l'aise", se souvient la cinéaste ».

Le film aborde les thèmes des origines, de l'intégration et de l'immigration. Des notions auxquelles Rachida Brakni, qui interprète Djemila, a été confrontées au cours de sa vie : "Je suis née en France mais à travers la perception des autres, j'étais Algérienne et, lorsque je retournais là-bas, j'étais considérée comme une immigrée. J'ai mis du temps à réaliser que je n'avais pas besoin d'être à un seul endroit. Cela passe par un point de rupture et l'amour autour de soi facilite les choses", raconte-t-elle.

 

La bande annonce :

 

 

 


 

 

 

 

 

Le terme "cheba" dans le titre du film Cheba Louisa vient de l'arabe et signifie "jeune femme" ou "belle".

 

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Rachida Brakni joue à la fois le rôle de Djemila et celui de sa grand-mère, Louisa. Une double interprétation qui a motivé et incité la comédienne à jouer dans le film Cheba Louisa. En effet, l'actrice Rachida Brakni a deux passions : la comédie et la musique. En février 2012, la comédienne a sorti un premier album en collaboration avec son compagnon, l'ancien footballeur et aujourd'hui acteur, Eric Cantona.

Pour les besoins du film, Isabelle Carré a pris des cours de Derbouka (sorte de tambour africain). Trois mois avant le tournage, elle apprenait également le djembé. La comédienne pratique aussi depuis longtemps la danse africaine. Elle est extra et tellement joyeuse (par moment) dans ce film…

Cheba Louisa marque le retour de Rachid Taha, en tant qu'auteur/compositeur pour le septième art. Il fait également une apparition dans le film de Françoise Charpiat.

 

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Voilà, c’est un beau film lumineux, généreux, intelligent… Si vous avez envie de passer un bon moment, n’hésitez pas…

Il me fait énormément penser à une amie qui m’est chère.

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16 août 2013 5 16 /08 /août /2013 19:36

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Depuis le début, j’aime cette saga des X-Men… ces mutants aux pouvoirs incroyables et improbables, au grand cœur pour certains, et rejetés par les Humains.

Parmi tous les X-Men, mon chouchou a toujours été Wolverine, l’homme loup, avec ses « griffes » d’acier.

Faut dire qu’il est joué par l’acteur Hugh Jackman, qui avouons-le, est beau gosse… ça aide aussi lol

Donc évidemment j’ai vu tous les films de la saga… et comme toujours, certains épisodes ont été mieux que d’autres. L’un des derniers qui avait déjà Wolverine comme vedette, X-Men Origins : Wolverine, en 2009 m’avait moyennement plu.

Mais bon, je n’ai pas pu résister de nouveau à l’appel de Wolverine, avec ce nouvel opus sorti en juillet 2013 en France : Wolverine : Le Combat de l’Immortel (réalisé par James Mangold).

Et je ne le regrette absolument pas !! Excellent film.

 

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Avant d’aller plus loin, le ou plutôt les synopsis…

 

Synopsis

Wolverine, le personnage le plus emblématique de l’univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu’il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l’acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité.

 

Synopsis 2

Logan, dit le Wolverine, vit seul dans les montagnes du Yukon, rêvant chaque nuit à Jean Grey. Un jour, une Japonaise nommée Yukio le retrouve et l'invite au chevet de son maître, Yashida, un vieillard à qui Logan a sauvé la vie à Nagasaki et qui est mourant. Sur place, Logan est trahi, puis perd mystérieusement ses pouvoirs. Il décide tout de même de protéger la petite-fille de Yashida, Mariko, qui est la cible d'une obscure conspiration visant à l'éliminer, alors qu'elle s'apprête à prendre la tête de la compagnie de son grand-père, la plus puissante au pays.

 

L'action du film se passe après X-men 3 mais n'en est pas une suite.

 

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Ce qui fait plaisir, c’est qu’apparemment le film marche bien, je n’arrive pas à avoir les derniers chiffres du box office, mais pour sa première semaine d’exploitation, le film réalise des scores impressionnants.  Plus d’un million de personnes ont déjà poussé les portes des cinémas de l’Hexagone, pour assister au film. En France, le blockbuster réalise le huitième démarrage de l’année.

Nous, hier soir, à Charleville-Mézières (on n’est pas Paris lol), après 3 semaines d’exploitation, à une séance tardive, il y avait du monde… j’étais étonnée, j’avoue… Tant mieux !!!

Ce qui est intéressant dans cet opus, c’est que Wolverine est transporté au Japon, dans un pays qui lui est inconnu, avec toute la tradition samouraï et aussi de la mafia japonaise…. donc des adversaires potentiels à sa hauteur. Cela donne de très beaux combats, les scènes d’action sont géniales.

Et Wolverine est en « pleine forme » si l’on peut dire… de bien beaux muscles… et pour cause !

Voilà ce que j’ai lu sur allociné :

« Hugh Jackman a contacté Dwayne Johnson afin de lui demander des conseils pour se préparer physiquement au rôle de Wolverine. Selon Jackman, "Le but n'était pas d'avoir l'air d'être juste quelqu'un qui faisait de la gonflette, il fallait que la rage intérieure puisse se voir sur mon corps, il fallait voir les veines, je voulais sembler animal". L'acteur a donc suivi le programme de son ami : manger 6.000 calories par jour en plus de l'exercice approprié ».

Et franchement le résultat est à la hauteur des efforts consentis !

 

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Par contre quand je disais que Wolverine était en pleine forme, j’ai mis des guillemets car dans ce film, justement, on en veut à son immortalité et on essaie de l’affaiblir et le rendre mortel. Et c’est bien, car cela le rend plus humain. Il se pose énormément de questions sur sa vie, son devenir, son immortalité, ce qu’il veut ou pas… bref il se trouve à un moment crucial de sa vie… et j’aime bien…

Côté sous… Estimé à 100 millions de dollars, le budget de Wolverine : le combat de l'immortel n'est donc pas énorme en comparaison à celui de X-Men: Le Commencement (160 millions) ou d'Avengers (220 millions).

 

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Quant à Hugh Jackman, il bat un record en tournant pour la 6e fois à l’écran, son personnage de Logan. Il est le seul acteur au monde à avoir incarné aussi souvent un même personnage de comic-book au cinéma. Il va également reprendre son rôle pour la septième fois dans X-Men : Days of Future Past (2014). D’ailleurs, en parlant de ce futur film… si vous allez au ciné, voir Wolverine, restez à la fin… ne partez pas dès les premières notes du générique de fin… ça vaut le coup lol

Autrement, petite anecdote que j’ai lue et que je trouve rigolote… Hugh Jackman est Australien… il a donc fortement insisté et fait en sorte que le film soit tourné en grande partie en Australie. Pour info, en plus d’être l’acteur principal du film, Hugh Jackman en est également le producteur. Ça aide lol

« Le gouvernement australien a octroyé une subvention d'environ 13 millions de dollars au film, pour qu'il soit tourné dans ce pays. D'après Julia Gillard (Première ministre australienne), ce serait Hugh Jackman qui l'aurait convaincue de débloquer ces fonds, favorisant ainsi la création d'emplois au sein d'un secteur largement touché par la crise depuis quelques années ».

 

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« Alors que Wolverine : le combat de l'immortel se passe quasi-intégralement au Japon, la majorité du tournage s'est déroulée à Sydney. Ce qui a posé quelques problèmes à la production au niveau des figurants japonais, la célèbre ville australienne comportant une large population asiatique mais très peu de Japonais ».

 

Bref, si vous aimez ce genre de film, vous passerez un très bon moment, et vous ne verrez pas passer les 2h08 du film !!!!

 

 

 


Je vous propose deux bandes-annonces pour vous faire une petite idée.

Bon cinéma !

 

 


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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 21:45

 

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Il y avait longtemps que je n’avais pas vu un film qui me donne une telle envie de faire un billet. Ce soir je suis allée voir avec une amie « L’attentat » de Ziad Doueiri, réalisateur libanais, basé sur le livre éponyme de Yasmina Khadra, écrivain algérien (excellent !). Nous avions lu et aimé toutes les deux le livre… nous sommes donc allées voir le film, avec tout de même, cette appréhension légitime, de la qualité ou non de l’adaptation.

Je vous le dis tout de suite, nous avons BEAUCOUP aimé !

non pas que ce soit un film joyeux… mais c’est un film puissant, fort, important qui parle de la réalité du quotidien qui se déroule en Israël et en Palestine… mais de manière humaine, intelligente et en essayant d’aller un peu derrière les apparences, les aprioris.

Le film est assez fidèle au livre, bien que mon impression, partagée avec mon amie, est que le film en dit plus que le livre. Nous avons envie toutes les deux de le relire !

 

http://www.cineart.be/documents/document/20130201161257-theattack_07.jpg


Les acteurs sont bons, surtout Ali Suliman qui joue le docteur Amine et Reymonde Amsellem qui joue, Sahim sa femme, la kamikaze, est très belle, très moderne, humaine… ce qui est d’autant plus perturbant !

J’ai beaucoup aimé la musique aussi… et j’ai lu que « Ziad Doueiri souhaitait s'affranchir, pour la musique, de toute sonorité arabe et créer une atmosphère typique des années 1960 et de l'ouest américain. Il a donc fait appel au compositeur Eric Neveux »… et il a eu raison.

 

Bon avant d’aller plus loin, voici le synopsis :

Dans un restaurant de Tel-Aviv, une femme fait exploser une bombe qu'elle dissimule sous sa robe de grossesse. Toute la journée, le docteur Amine, israélien d'origine arabe, opère les nombreuses victimes de l'attentat. Au milieu de la nuit, on le rappelle d'urgence à l'hôpital pour lui annoncer que la kamikaze est sa propre femme. Refusant de croire à cette accusation, Amine part en Palestine pour tenter de comprendre.

 

Et la bande annonce :

 

 

 

 

 

 

L'Attentat est donc l'adaptation du roman du même nom écrit par Yasmina Khadra, qui a connu un immense succès : il a été plébiscité par le public et la critique en 2005, a reçu le Prix des libraires en 2006 et a été traduit dans plus de 40 langues. A l'occasion de la sortie du film, les éditions Julliard vont rééditer le roman. Si vous ne l’avez pas lu, profitez-en !

 

Par ailleurs, le film a reçu l'étoile d'Or lors de la 12ème édition du Festival International du film de Marrakech, et a également obtenu une Mention spéciale du Jury au Festival de Saint-Sébastien.

 

J’ai lu que pendant un temps, l'Anglais Jeremy Brock, scénariste du film Le dernier roi d'écosse, a été approché pour adapter L'Attentat. Les nombreuses réécritures, s'éloignant de l'essence du livre, ont dérangé Yasmina Khadra qui a préféré confier son œuvre au réalisateur libanais Ziad Doueiri.

Je suppose donc que Yasmina Khadra est ok avec cette adaptation.

 

Situation compliquée…

Film d’une actualité brulante, L'Attentat est sujet à une vive polémique au Liban. Le réalisateur s'explique : "Il y a une campagne menée pour interdire la sortie du film dans mon pays. Le gouvernement libanais a une position ambivalente parce que j’ai violé la loi qui interdit à tous ses ressortissants d’être en contact, même de se faire photographier, avec un Israélien". En outre, le choix d'une actrice israélienne (Reymonde Amsellem) pour incarner une Palestinienne a été violemment critiqué. Ziad Doueiri est quant à lui admiratif de la volonté de l’actrice : "Reymonde a suivi des cours d’arabe pendant trois mois et j’admire sa ténacité. La loi israélienne interdit aux Juifs d’entrer dans les territoires occupés et pourtant, elle est venue à Naplouse, contre l’avis de son agent et des producteurs. Elle a privilégié l’artistique, quitte à en subir les conséquences plus tard."

Bravo madame.

 

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Le réalisateur Ziad Doueiri insiste sur le fait que L'Attentat est davantage axé sur les relations humaines que sur la politique. Il ne cherche pas être le porte-étendard d'une lutte : "Le cœur du film est ailleurs : c’est l’implosion d’un couple, suite à la trahison de Siham, l’épouse d’Amine", explique-t-il. D'où les zones d'ombre qui entourent Siham. Son geste est inexplicable : "Nous avons balayé toutes les hypothèses expliquant son geste kamikaze. La solution était ailleurs : il fallait laisser le spectateur libre de toute interprétation. Ce qui importe le plus dans le film, c’est ce qu’Amine apprend sur son couple et sur lui-même."

En cela, je trouve ce film très humain. On assiste à l’explosion, dans tous les sens du terme, d’un couple qui s’est aimé passionnément pendant 15 ans… Amine n’a pas vu venir ce qui allait se passer. Il n’était pas au courant, des idées, du projet de sa femme.

 

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Au bout du compte, connait-on vraiment les personnes avec qui on vit ? Chacun garde ses secrets, sa part d’ombre.

J’ai admiré le courage, d’aller jusqu’au bout, de ce chirurgien d’origine arabe, reconnu par toute sa profession en Israël, pour essayer de comprendre envers et contre tous, ce qui avait motivé le geste brutal, à priori insensé, de sa femme.

De nombreuses vérités apparaissent au détour de son cheminement.

Mais la réalité n’est ni blanche, ni noire… et la vérité n’est pas forcément que d’un côté de la frontière.

Il est sur, qu’on se prend en pleine figure la haine que ces 2 peuples ressentent l’un pour l’autre… Comment la situation va-t-elle pouvoir un jour évoluer dans le bon sens ?

Le chemin est long.

Ceci dit, je vous invite vraiment à aller vite voir ce film au cinéma et de lire ou relire le livre de Yasmina Khadra.

 

Je vous mets ici le lien vers la fiche du livre sur Babélio

 

link

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 15:07
Et si on parlait de la peine de mort


Je voulais faire dernièrement un billet sur un film que nous avons vu en famille « La vie de David Gale » d'Alan Parker. Et nous avons tous été scotchés, et enthousiastes !
Film plein de suspens, il nous a tenus en haleine... C'est un film contre la peine de mort, conseillé vivement par deux amies (merci les filles !).
Je ne comprends d'ailleurs toujours pas, pourquoi je ne l'avais pas encore vu, moi qui suis fan d'Alan Parker (« Birdy » est l'un de mes films cultes, je reste marquée à vie par « Midnight Express », surtout une scène culte elle aussi, et la musique... ah lala et « Mississipi Burning » devrait être vu par tout le monde !)... et que j'aime énormément l'acteur principal, Kevin Spacey depuis que je l'ai découvert dans un film excellent, « Usual suspects ».
Enfin bref, le mal est réparé et si vous ne l'avez pas vu, je vous le conseille vivement.
 
Le synopsis :
Militant contre la peine capitale au Texas, le docteur David Gale, un professeur d'université, se retrouve à tort condamné à mort pour le viol et le meurtre de l'activiste Constance Harraway. Dans sa cellule, il reçoit Elizabeth Bloom, une journaliste qui mettra tout en œuvre pour prouver son innocence. Mais y parviendra-t-elle ?
 
Je vous en parle enfin aujourd'hui car je viens de recevoir une info d'Amnesty International et franchement, il faut absolument la lire en entier.
Car si cela se termine bien pour cet homme car il ressort, vivant, libre et innocenté... mais après avoir connu l'horreur... ce n'est pas le cas de tous, je dirais même de la plupart... tous ne s'en sortent pas vivant... et ce qui est aussi horrible, inadmissible, insupportable, c'est que le véritable assassin est dehors, tranquille !
Franchement, je suis et serai toujours contre la peine de mort !!!!!!
 
En 40 ans plus de 140 condamnés à mort ont été innocentés aux Etats-Unis.
141 avec Damon Thibodeaux.
 
Et si on parlait de la peine de mort




Etats-Unis : survivre au couloir de la mort
Damon Thibodeaux a passé plus de 10 ans sous la menace d'une exécution.Ce citoyen américain, aujourd'hui âgé de 38 ans, a été déclaré coupable du meurtre de Chrystal Champagne, une cousine par alliance de 14 ans, et condamné à mort en 1997. Il a toujours clamé son innocence et, après avoir passé 15 ans derrière les barreaux, il est finalement ressorti du pénitencier d'État de Louisiane d'Angola – l'une des prisons les plus dures des États-Unis – en homme libre. Voici son histoire.
Lire la suite en cliquant ici


Etats-Unis : survivre au couloir de la mort | Amnesty International France

Etats-Unis : survivre au couloir de la mort | Amnesty International France

[19/04/2013] - Damon Thibodeaux a passé plus de 10 ans sous la menace d’une exécution.Ce citoyen américain, aujourd’hui âgé de 38 ans, a été déclaré coupable du meurtre de Chrystal Champagne, une cousine par alliance de 14 ans, et condamné à mort en 1997. Il a toujours clamé son innocence et, après avoir passé 15 ans derrière les barreaux, il est finalement ressorti du pénitencier d’État de Louisiane d’Angola – l’une des prisons les plus dures des États-Unis – ...

via : www.amnesty.fr

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 14:25
Zulu de Caryl Ferey est devenu un film


Ceux et celles qui me connaissent savent que je suis une fan complète de Caryl Ferey.
Le 1er livre que j'ai lu de lui, c'est « Zulu » grâce à une amie, Claire, qui me l'a prêté.
Ce qui est drôle, c'est qu'elle n'aime pas trop la violence dans les livres, et bien là, elle a été servie lol elle a aimé, mais dur à lire tout de même, surtout pour elle.
Car moi, je suis restée complètement scotchée et suis devenue fan ! Une vraie.
Pour rappel à ceux qui ne connaissent pas, c'est l'auteur de Mapuche, un thriller dont je vous ai parlé il y a peu, qui est absolument époustouflant sur l'Argentine au temps de la dictature et des « folles de mai » (mères et grand-mères courage des disparus de la dictature !), entre autres.
 
 
Voici la critique que je mettais à l'époque, quand j'ai lu Zulu :
 
wahou ! livre coup de poing... rien que le début vous scotche, vous terrifie devant la violence... la violence humaine... la violence en Afrique du Sud... durant l'apartheid mais aussi après l'apartheid. Thriller rudement bien mené, dans un contexte de grande tension et grande violence. Très intéressant pour comprendre un peu ce qu'est devenue l'Afrique du Sud, loin de la nation arc en ciel de la coupe du monde de foot...
vraiment très très bien... à lire !! mais il faut s'accrocher... moi il m'a pris et je n'ai pas pu le lâcher avant de l'avoir fini...
 
 
 
Le résumé de l'éditeur :
Enfant, Ali Neuman a fui le bantoustan du KwaZulu pour échapper aux milices de l'Inkatha, en guerre contre l'ANC, alors clandestin. Même sa mère, seule rescapée de la famille, ne sait pas ce qu'elles lui ont fait...
Aujourd'hui chef de la police criminelle de Cape Town, vitrine de l'Afrique du Sud, Neuman doit composer avec deux fléaux majeurs : la violence et le sida, dont le pays, première démocratie d'Afrique, bat tous les records. Les choses s'enveniment lorsqu'on retrouve la fille d'un ancien champion du monde de rugby cruellement assassinée dans le jardin botanique de Kirstenbosch. Une drogue à la composition inconnue semble être la cause du massacre. Neuman qui, suite à l'agression de sa mère, enquête en parallèle dans les townships, envoie son bras droit, Brian Epkeen, et le jeune Fletcher sur la piste du tueur, sans savoir où ils mettent les pieds... Si l'apartheid a disparu de la scène politique, de vieux ennemis agissent toujours dans l'ombre de la réconciliation nationale...
 
 
Lien vers la fiche du livre vers Babélio
 
 
Zulu - Caryl Férey

Zulu - Caryl Férey

Critiques, citations, extraits de Zulu de Caryl Férey. Fatigants ces auteurs sans véritable surprise... Caryl Férey en fait ...

via : www.babelio.com


 
Donc, un film a été réalisé à partir de ce livre par Jérôme Salle (Largo Winch I et II, Anthony Zimmer etc.)  avec Orlando Bloom (Pirates des Caraïbes, la trilogie du Seigneur des anneaux, Le Hobbit etc.) et Forest Whitaker.
 
Synopsis :
Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.
 
 Zulu de Caryl Ferey est devenu un film
 
je ne peux que vous conseiller de lire le livre de Caryl Ferey si ce n'est déjà pas fait...
et d'aller au ciné voir le film quand il sortira ! je suis certaine qu'il sera bien, car Caryl Fery a été associé et sur le tournage régulièrement donc donc... j'espère ne pas être déçue !!!
 
Et pour info, de dernière minute,
« Le film de clôture du 66ème Festival de Cannes a été dévoilé : il s'agit de "Zulu" de Jérôme Salle, emmené par Orlando Bloom et Forest Whitaker ».
allo.ciné
 
Zulu de Caryl Ferey est devenu un film
 
et voici comment Caryl Ferey l'a annoncé sur son profil Facebook (c'est là que j'ai appris l'info lol)
 
« Yes we can !
La version cinéma de "Zulu" a l'honneur de clôturer le festival de Cannes le 26 mai prochain. Quel parcours depuis mon premier voyage en 99 et ma rencontre (certes lointaine) avec l'incomparable Nelson Mandela... Bon, je ne suis pas très smoking, vous aurez le droit de vous foutre de ma gueule, mais c'est une superbe promo pour le film de Jérôme Salle, qui le mérite bien - comme l'équipe de tournage et les comédiens, si sympas... De nouvelles aventures en perspective ! »
 
voilààààààààààà
bonne lecture et bon ciné !
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29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 18:21
Le Hobbit : un voyage inattendu


Enfin ça y est, nous sommes allés voir Bilbo le hobbit sur grand écran hier !!!!!!!!!
On en avait tellement envie... Faut dire que nous sommes, je suis fan de chez fan de la trilogie du Seigneur des anneaux, donc forcément... l'envie est forte quand on aime la terre du milieu, d'aller voir ce qu'il se passait 60 ans, avant la trilogie, quand Bilbo Sacquet a trouvé l'anneau... on y retrouve Gandalf, Gollum, les elfes, les nains et ces affreux Gobelins, Orques, trols et j'en passe ! Bref, un univers que l'on aime !
Et puis on ne change pas une équipe qui gagne, c'est toujours Peter Jackson, aux commandes, LE passionné de Tolkien et celui qui a réalisé la trilogie....
Tout comme dans la trilogie, la musique, superbe et envoutante vous emporte, les paysages de Nouvelle Zélande sont à couper le souffle !
Bref tous les ingrédients sont là pour en faire un très beau spectacle, une belle aventure, et franchement, on ne voit pas le temps passer (pour info le film dure 2h45 ! lol)... même que, sans dévoiler la fin, on nous laisse sur notre faim d'une façon inattendue et bien cavalière.... on ne veut pas quitter la salle.... on veut la suite, là, tout de suite maintenant !!! Non mais alors, si vous y allez, vous verrez de quoi je parle !!!! si je connaissais quelques injures en langue elfique, je les dirais bien maintenant mdr


Le Hobbit : un voyage inattendu



Quelques petits bémols néanmoins, j'ai trouvé le début 1er petite ¼ d'heure) un peu moyen et lent mais c'est très personnel car Quentin qui a la dent beaucoup plus dure que moi (pfffffff ile me dit toujours que je suis bon public !! gnagnagna... même pas vrai lol) n'a pas trouvé....
Par moments, j'ai trouvé aussi l'image un tout petit peu floue, mais je pense que c'est du au fait que le film a été réalisé pour la 3D, la fameuse, or moi je l'ai vu en 2D car mes yeux qui ne sont pas les meilleurs du monde ne voit pas la 3D (trouble et ça me fait un mal de tête de chien !) donc je pense que c'est là l'explication.
Et globalement, le film a un tout petit peu moins de souffle et de charisme que la trilogie... mais faut dire que le niveau était très très haut lol
Ceci dit, j'ai adoré, et je n'arrête pas d'y penser depuis hier soir... J
je suis très heureuse que mon filleul Kevin m'ait offert le livre de Tolkien à Noël... dès que j'ai fini le livre que je suis en train de lire, je l'attaque.... j'en salive de gourmandise et d'envie d'avance lol (merci Kev !)
ah oui j'oubliais... les filles... faut que je vous dise un truc, le roi des nains (on oublie que c'est un nain, sisi !), Thorin.... et bien je vous garantis qu'il est beau Thorin !! wahou.... trop ! lol


Le Hobbit : un voyage inattendu


Bon néanmoins, fan que je suis d'Aragorn, il ne le dépasse pas, ni même n'atteint son niveau, faut pas exagérer, mais il est juste en dessous lol
 
Allez, plus sérieusement, je vous propose le synopsis (que j'ai un peu remanié au début, car je ne comprends, pas, que ce soit Allociné ou Première, il n'est pas tout à fait exact pffffffffff).
Dans un voyage inattendu, Bilbon Sacquet sollicité par le magicien Gandalf le Gris, cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Il le fait en rejoignant une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers...
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.
C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés... Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore...
 
D'ailleurs, la rencontre de Bilbon et de Gollum donne lieu à un échange assez époustouflant et stressant d'énigmes !! Et franchement Bilbon s'en sort très bien.... il est très malin ce petit hobbit, ce semi-homme comme ils disent...
 
 
Une petite bande annonce, pour vous donner une idée et envie peut être !
 
 

 

 

 


 
Du côté des acteurs, je me disais que la tête de Bilbon me disait quelque chose, mais quoi lol Quentin lui me disait non... donc j'ai fini par me dire qu'à force de voir l'affiche, j'avais l'impression de le connaitre. Mais là en faisant mes recherches pour le billet, je comprends tout... l'acteur qui joue Bilbon est Martin Freeman et en cherchant un peu, je m'aperçois qu'il jouait dans la série de Sherlock Holmes, le docteur Watson ! une série que j'ai regardé sur je ne sais plus quelle chaine... Elémentaire mon cher Watson ! J
Outre Ian McKellen (Gandalf) et Andy Serkis (Gollum), dont les personnages ont un rôle important dans l'histoire, Hugo Weaving (Elrond), Cate Blanchett (Galadriel), Elijah Wood (Frodon), Christopher Lee (Saroumane) et Ian Holm (Bilbo vieux) font également leur retour dans la Comté.
Bon autrement, je ne vous donne que le nom du beau roi Thorin, Richard Armitage... autrement y en a trop de nains !!!!!!!!!! mdr
Les acteurs Ian Holm (Bilbon, vieux) et Christopher Lee (Saroumane) ont tourné leurs scènes à Londres aux Studios Pinewood, pour des raisons de santé. En effet, les comédiens de 81 ans (pour Holm) et 90 ans (pour Lee) ne se sentaient pas la force d'aller jusqu'en Nouvelle-Zélande pour le tournage.
 
Côté décors...Il y a dix ans, une partie d'une ferme dans la région de Matamata avait été transformée en Hobbitebourg pour Le Seigneur des anneaux. Pour Le Hobbit, l'équipe du film a investi à nouveau cette ferme néozélandaise, mais a également créé de nouveaux décors : la forêt de Rhosgobel (où habite le magicien Radagast) ainsi que la grotte de Gollum.
Comparé à la première trilogie du Seigneur des anneaux, les studios néozélandais "Stone Street Studios" sont trois fois plus vastes. L'équipe du film a en effet occupé la quasi intégralité des 32 000 m², soit une totalité de six plateaux.
 
Le Hobbit : un voyage inattendu


Côté fréquentation...
Vu sur Le figaro cinéma du 27/12/2012
« Le film de Peter Jackson devance largement De l'autre côté du périph, mais réalise un score bien inférieur à celui de la première saga du Seigneur des anneaux.
La Terre du Milieu ne séduit plus autant qu'avant. Le Hobbit caracole seul en tête du box-office français, avec un total de 2.334.119 entrées en deux semaines, selon des chiffres de CBO Box-office. Pourtant, le film reste très loin des sommets atteints par la première trilogie du Seigneurs des anneaux. Le Retour du Roi, sorti en décembre 2003, détient le record de la saga, avec 2.935.984 spectateurs dès la première semaine et 5.046.067 en deux semaines ».
 
Bon évidemment, ce n'est pas Le Seigneur des anneaux, mais chez nous, petite ville moyenne de Charleville, l'une des grandes salles du multiplexe était quasi pleine hier soir... ça marche bien je pense !
 
Allez une dernière petite bande annonce pour la route....


Et bon ciné !!! Car je vous le conseille vivement lol



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